Dans le train qui pourfend l'air surchauffé vers Arles
Au risque de provoquer un incendie
Je vais rendre visite aux Parques
Ces divinités fileuses qui déroulent et tranchent le fil des destins.
La joie est là, évidemment
Mais leur magie est puissante, capricieuse
Souvent incontrôlable
On ne se pointe pas chez les créatures mythologiques sans crainte
De ce qu'elles vont révéler
De ce qu'elles vont réveiller.
Pascal que rien ne vient troubler, brode en devisant
C'est très bon, d'être là
Dans la chaleur du temps
Il évoque le feu qui dort, la lave escamotée
m'exhorte à l'invoquer.
Je vous enjoins à contempler son travail
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